
L’infini scellé
Epiphanies du quotidien et cristallisations de la mémoire chez Joseph Cornell
Publication | Revue Hippocampe n°10 |
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Parution | Printemps 2014 |
168 pages | |
20 x 26 cm |
Il y a peu d’artistes qui m’ont autant marqué que Joseph Cornell. J’ai emprunté le nom de domaine de ce site (eterniday) à une de ses trouvailles linguistiques. J’explique dans cet essai dans quel sens entendre ce mot valise. Ce texte n’est qu’un fragment des nombreuses pages que j’ai écrites sur lui au fil des cours où je l’ai mobilisé. J’espère un jour pouvoir en faire un livre, en partant du dossier Center Garden 44 sur lequel je m’attarde longuement dans ce texte et qui me semble être une pièce clé de l’art du XXe siècle. Onze ans après la rédaction de ce texte, je le trouve insuffisamment clair sur tant de points que j’ai approfondis depuis. Raison pour laquelle il me laisse aujourd’hui insatisfait, tout en me tenant à cœur plus qu’aucun autre.